A Libreville pour prendre part à la deuxième édition du Festival de la femme Artiste. Elle est slameuse, glisse des messages, fait ses coups de gueules.
Par AN
«J’apporte au Gabon, au cours de ce Festival, le Slam, la valeur des femmes africaines, la dénonciation des femmes opprimées, des violentées. Ce genre de rendez-vous est très édifiant, enrichissante et félicitation d’ailleurs à l’organisatrice et à toute l’équipe ; «J’ai vraiment apprécié depuis hier jusqu’aujourd’hui, tout ce qui a été mise en place pour la réalisation du festival. »
Lorsqu’on lui demande de se présenter, voici son morceau choisi: «Dans le slam je me perds, je tempère, je coopère, je me récupère, je me gère, je suggère, je deviens légère ; je conseille dans la logique du soi, j’exprime ce qu’il y a au fond de moi. La lumière je l’apporte sur des mots à travers mes vers, par mes mots», Princesse Falak Ayeva – Attitude positive.
