Par Georges Patrick Junior Nzamba

Depuis cette nuit du 30 août 2023, où le destin du Gabon a basculé sous l’impulsion du Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions (CTRI), un homme incarne l’espoir, la rupture et la refondation: le Général de brigade Brice Clotaire Oligui Nguema.

Cet homme d’action, loin des promesses creuses et des artifices politiciens, a prouvé́ par son pragmatisme et son engagement qu’il était le leader dont le pays avait besoin. Aujourd’hui, alors qu’il s’apprête à quitter l’uniforme pour embrasser une carrière politique en tant que civil, son parcours s’érige en véritable conte de fées moderne.

Sans avoir été dans une académie des  sciences politiques de Paris 1 ou 7, etc. Brice Clotaire Oligui Nguema, que nous avons vu à l’œuvre pendant plus d’un an, applique les formules politiques bien mieux que certains marchands d’illusions que nous connaissons.

Un coup d’État, un coup du destin: Ce jour-là, le Gabon s’éveillait enfin, libéré́ des chaînes d’un régime usé par des décennies d’inertie et de compromissions. Oligui Nguema n’était pas un putschiste ordinaire ; il était l’instrument du destin, celui qui, par un simple «c’est fini», a redonné espoir à tout un peuple. Contrairement aux militaires avides de pouvoir que l’histoire africaine a parfois connus, lui avait une vision: le pouvoir devait revenir aux civils.

Mais, dans cette promesse, un détail essentiel était souvent omis: quel civil ? Un civil issu des anciennes castes politiques, gangrenées par la démagogie et la manipulation? Ou bien un civil né d’une trajectoire d’honneur, d’une loyauté́ sans faille envers la nation, d’un sens aigu du devoir et du service? La réponse était écrite d’avance.

De l’uniforme à la présidence, un destin prédit: En stratège aguerri, Oligui Nguema n’a pas précipité́ les choses. Il a pris le temps de comprendre, de réformer, de prouver que le militaire ne se contente pas de discours. Partout, il s’est déplacé́, auprès des  populations, non pour les flatter, mais pour écouter et agir. Il a redonné aux Gabonais leur dignité́, restauré les institutions, lancé des projets concrets. Là où les politiciens de l’ancien régime se complaisaient dans des promesses chimériques et des cortèges de luxe, lui marchait dans les rues, écoutait, décidait et exécutait.

Alors, lorsque l’heure des élections approche, qui d’autre que lui pour incarner la continuité́ de cette refondation ? Qui d’autre pour protéger les acquis de cette transition historique ? Qui d’autre pour incarner ce civil que lui-même avait prophétisé́ ?

Un leadership d’action, loin des illusions politiciennes: Contrairement aux politiciens classiques, Oligui Nguema ne parle pas en vain. Chez lui, chaque parole est suivie d’un acte, chaque engagement d’un résultat. Là où les anciens dirigeants s’empêtraient dans des labyrinthes bureaucratiques et des calculs politiciens, lui tranche, décide et met en œuvre.

Le militaire, par essence, ne trahit pas son peuple. Il ne s’embourbe pas dans les jeux de pouvoir stériles ni dans la duplicité́ des alliances. Son engagement est clair : servir la nation avant de se servir soi-même. C’est    ce qui le distingue et ce qui, aujourd’hui, fait de lui le seul choix légitime pour l’avenir du Gabon.

Un avenir déjà̀ tracé: L’histoire ne s’écrit pas avec des illusions, mais avec des hommes d’action. En se présentant à la prochaine élection en tant que civil, Oligui Nguema ne fait que parachever son œuvre. Il devient l’homme du peuple, celui qui, en redevenant civil, prouve que son engagement n’a jamais été́ motivé par l’uniforme, mais bien par une mission supérieure: celle de redonner au Gabon son honneur et sa grandeur.

Le 30 août 2023, il était le représentant des militaires. En 2025, il sera le représentant des civils. Le destin suit sa logique, et le peuple, témoin de cette ascension, s’apprête à l’accompagner jusqu’au bout.

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